Présentation
La région en quelques chiffres
Avec ses frontières communes avec la Suisse, l’Ile-de-France, le Centre-Val de Loire, le Grand-Est et l’Auvergne-Rhône-Alpes, la Région Bourgogne-Franche-Comté, avec ses 2,821 millions d’habitants et ses 14 gares TGV, bénéficie d’une place privilégiée au milieu de l’Europe.
- Population : 2,807 millions,
- Superficie : 47 784 km²,
- Population active : 1 242 882 personnes,
- 8 départements : Côte-d’Or, Doubs, Haute-Saône, Jura, Nièvre, Saône-et-Loire, Territoire de Belfort, Yonne,
- Communes : 3 702, dont 25 communes de plus de 10 000 habitants,
- Densité : 59 habitants au km²
- 14 gares desservies par le TGV 451 kilomètres de Ligne à Grande Vitesse,
- 868 kilomètres d’autoroutes,
- 1 951 kilomètres de ligne TER,
- 230 kilomètres de frontière avec la Suisse.
À la pointe de la recherche et de l’innovation
La région Bourgogne-Franche-Comté abrite une industrie forte et des entreprises reconnues dans le monde entier. Elle est aussi recherchée pour son savoir-faire traditionnel et reconnue pour l'agroalimentaire et l'agriculture. Elle compte cinq pôles de compétitivité et un Produit intérieur brut (PIB) de 3,7 % par rapport au PIB national.
Un patrimoine naturel, architectural et gastronomique réputé
UN PATRIMOINE NATUREL À EXPLORER
Du Parc naturel du Morvan et ses lacs au Parc naturel du Haut-Jura et ses montagnes, le long du Doubs et de la Saône, de la Seine et de la Loire, la région est dotée d’une grande diversité de paysages et d’une nature préservée. A parcourir ou à découvrir à pied, à cheval, en roulotte, en canoë, en bateau ou en moto… : les 1 000 km de canaux en Bourgogne, le plateau des 1 000 étangs en Haute-Saône, les sept cascades du Hérisson dans le Jura, le Mont Beuvray, le Mont d’Or, la Roche de Solutré, le Saut du Doubs, les lacs de Chalain, Vouglans, Saint-Point, du Malsaucy, des Settons, de Pannecière, de Chaumeçon… et bien d’autres sites exceptionnels. La Bourgogne-Franche-Comté est aussi une destination bien-être, avec les stations thermales de Luxeuil-les-Bains (70), Bourbon-Lancy (71), Salins-les-Bains, Lons-le-Saunier (39) et Saint-Honoré-les-Bains (58).
UN PATRIMOINE ARCHITECTURAL À VISITER
La Bourgogne-Franche-Comté recèle d’édifices, de sites, de villes et villages d’art et d’histoire : hospices de Beaune, Châteaux de Guédelon, du Clos de Vougeot, de Châteauneuf-en-Auxois, Château de Joux, Palais des Ducs et des Etats à Dijon, vestiges d’Alésia, oppidum de Bibracte, temple de Janus à Autun, abbayes de Cîteaux et Cluny¸ Chapelle Notre-Dame-du-Haut à Ronchamp, Lion de Bartholdi à Belfort, villages de Vézelay, Baume-les-Messieurs, Château-Chalon, etc. Un patrimoine reconnu par l’UNESCO : Abbaye cistercienne de Fontenay, Basilique de Vézelay, Prieuré de La Charité-sur-Loire, citadelle de Besançon, chapelle de Ronchamp, saline royale d’Arc-et-Senans, Grande saline de Salins-les-Bains, climats du vignoble de Bourgogne.
UNE GASTRONOMIE À DÉGUSTER
La diversité et la qualité des produits associées aux savoir-faire des producteurs font de la région une table des plus appréciée au monde. Des produits d’exception : le jambon persillé, la saucisse de Montbéliard, la saucisse de Morteau, le Comté, le Morbier, le vacherin Mont d’Or, la Cancoillotte, l’Epoisses, le Bleu de Gex, les escargots, la moutarde, le pain d’épices, l’anis de Flavigny, les griottines, la truffe, les morilles, le cassis, l’absinthe… La terre des grands vins de Chablis à Saint-Véran, de Beaune à Gevrey-Chambertin, en passant par Mercurey, la Bourgogne viticole affiche une notoriété internationale (33 grands crus classés). Les 100 appellations d’origine contrôlée (AOC) sont dégustées aux quatre coins de la planète ! Le vignoble du Jura s’étend sur environ 1 850 hectares avec 4 AOC géographiques (Arbois, Côtes du Jura, Château-Chalon, l’Etoile), 2 AOC produits (Macvin du Jura, Crémant du Jura), deux mentions traditionnelles (le Vin jaune et le Vin de Paille) et 5 cépages, Chardonnay et Pinot, mais aussi Savagnin, Poulsard et Trousseau. Autant de nectars qui traduisent l’extraordinaire diversité d’un vignoble aux mille facettes, et qui sont fêtés chaque hiver pendant la Percée du Vin Jaune et la Saint-Vincent tournante.
Armoiries de la région
Dès son élection, Marie-Guite Dufay a souhaité que la Bourgogne-Franche-Comté se dote d’un nouveau blason porteur de l’identité commune de la nouvelle région. Elle a pour cela fait appel à un collectif d’archivistes et d’historiens francs-comtois et bourguignons, membres des sociétés savantes.
DEUX PROVINCES DÉJÀ ASSOCIÉES AUX XIVE ET XVE SIÈCLES
Le groupe de travail a estimé que, pour évoquer la seule période de l’histoire où les deux provinces se sont déjà trouvées étroitement et durablement associées sous une domination qui leur fût propre, les XIVe et XVe siècles, un blason conjuguant les armes du Duché et celles de la Comté pouvait jouer le rôle symbolique adéquat. En effet, ces deux provinces ont déjà été unies en 1330, à l’époque du duc capétien de Bourgogne Eudes IV, et ce jusqu’en 1361. Cette période est figurée aux quartiers 2 et 3, avec le lion couronné du comte Othon IV (Franche-Comté), et au 4, avec les armes dites « Bourgogne ancien ». Rattachée ensuite par héritage à l’Artois et à la Flandre, la Comté fut de nouveau réunie au Duché de Bourgogne en 1384. La dynastie capétienne y avait laissé la place à la dynastie des ducs Valois, d’où le 1 d’azur semé de lis hérité de Philippe le Hardi (armes dites « Bourgogne moderne »). Après la mort de Charles le Téméraire, en 1477, la Comté et le Duché furent un temps maintenus sous la domination du roi de France, avant de voir leur sort diverger pour longtemps en 1493 (traité de Senlis).
Les grands projets
-assiettes d’ici et agricultures
-une région attractive et rayonnante
-la santé, une préoccupation globale
-s’engager pour la laïcité et contre toutes les discriminations
-projet la région en 2050
-service public de l’efficacité énergétique